Le Parlement a par contre adopté 75 voix contre 38 et 20 abstentions la motion présentée par l’élue Gissela Molina refusant le procès pénal contre Veronica Abad.
Gissela Molina a rappelé que le Pouvoir législatif ne pouvait pas devenir le point médiateur entre le président et la vice-présidente et que l’affaire risquait de créer un très mauvais précédent sur la participation des femmes à la politique.
La vice-présidente équatorienne a déclaré que les actions en justice contre elle rentrent dans le cadre d’une persécution du gouvernement pour éviter qu’elle assume la présidence lorsque le chef de l’État devra la lui rendre pour faire campagne en vue des élections de l’année prochaine.
Le gouvernement a qualifié de sale pacte politique la résolution législative qui a refusé le procès contre la vice-présidente.
Source : Prensa Latina