Capture d'écran.
La Havane, 4 mai (RHC)- De nouvelles preuves concernant les liens des contre-révolutionnaires à Cuba avec des programmes financés par des agences nord-américaines ont été dénoncées par la télévision nationale.
Le journal parlé de la télévision cubaine a montré des documents qui établissent un lien entre Anamely Ramos, l'un des personnages qui incitent à la désobéissance civile dans la nation caribéenne, et l'organisation Culture Démocratique, un sous-traitant de la Fondation Nationale pour la Démocratie, la NED de par son sigle en anglais.
Les dossiers font également référence à des actions dans lesquelles apparaît le nom de Luis Manuel Otero, un autre individu qui reçoit des financements d'agences nord-américaines pour mener des activités subversives sur l'île et qui a récemment organisé une prétendue grève de la faim.
Les documents reflètent la façon dont Anamely Ramos a été responsable des actions de Culture Démocratique, une organisation qui a reçu des fonds de la NED pour plus de 47 000 dollars en 2019 et près de 50 000 dollars supplémentaires en 2020. En outre, sa coordinatrice, l'Argentine Micaela Hierro, a été dénoncée comme agent des services secrets des États-Unis en raison de sa participation active à l'organisation de forums et d'événements subversifs au Nicaragua, au Venezuela et à Cuba.
Elle a visité notre pays à trois reprises, dans le but d'apporter de l'argent et des moyens techniques à des contre-révolutionnaires.
Anamely Ramos, qui vit au Mexique depuis le 9 janvier et qui est liée à la fausse grève de la faim qui a eu lieu en novembre dernier dans le quartier havanais de San Isidro, maintient actuellement une instigation permanente à la mobilisation contre le gouvernement.
Elle fait également partie des mensonges qui sont diffusés sur Internet à propos de la réalité cubaine, comme l'a démontré une récente publication sur un prétendu rassemblement dans un parc à proximité de la gare de La Havane.
Des images diffusées par le programme Chapeando de Radio Rebelde ont montré un parc où la vie se déroulait normalement.
Source : Prensa Latina