La Havane, 26 janvier (RHC).- Antigua et Barbuda, le Ghana et le Pérou ont joint leurs voix aux Nations Unies à la clameur en faveur de la levé du blocus économique, financier et commercial que les États-Unis font subir à notre pays depuis plus de 50 ans déjà.
Au cours de la seconde journée du débat général du principal organe de l'ONU, le premier ministre d'Antigua et Barbuda, Gaston Brown a de nouveau exprimé la condamnation de son pays au siège mis par Washington durant plus d'un demi-siècle à Cuba.
Pour sa part, le président du Ghana, John Dramani Majama, a relevé que peu de nations ont connu les politiques d'isolement comme cela est le cas de Cuba. Il a réaffirmé la position de son pays contre cette politique criminelle de la Maison Blanche.
De son côté, le président du Pérou, Ollanta Humala a signalé que le siège étasunien doit terminer car il affecte le développement économique, retarde le développement social et humain de Cuba et a un impact négatif sur le bien-être de ses citoyens.
Toujours à l'Assemblée Générale de l'ONU, les présidents du Venezuela, Nicolás Maduro ; de la Bolivie, Evo Morales, de l'Afrique du Sud, Jacob Zouma et du Sri Lanka Majinda Rajapaksa, ont également condamné le blocus étasunien contre Cuba.