Dans un monde chaotique où une poignée de nantis ont tout et la majorité manque de l'essentiel pour vivre, où il y a des armées bien équipées qui tirent sur des civils qui n'ont pour arme que leur courage et des pierres, où les maladies, l'ignorance et la faim sévissent, Cuba a réitéré sa volonté de lutter pour garantir les droits fondamentaux des personnes comme elle l'a fait jusqu'à présent à l'intérieur et à l'extérieur de ses frontières.

La plus Grande des Antilles a présenté à Genève son rapport à l'Examen Périodique Universel du Conseil des Droits de l'Homme dans lequel elle a fait un exposé détaillée de ses réussites en la matière, de façon particulière sur la protection de la vie, considérée comme la priorité des priorités car c'est à partir d'elle que l'on peut exercer tous les autres droits.

Le ministre cubain des Affaires, Bruno Rodríguez a rappelé que dans notre pays il n'y a ni vente ni trafic d'armes à feu et que le taux d'homicides est sensiblement faible ce qui en fait l'un des pays les plus sûrs au monde.

Malgré les manipulations et les mensonges grossiers de la délégation des États-Unis et d'une poignée de leurs alliées ou d'entités comme Freedom House, liée à des appareils d'intelligence de son pays et d'Israël, Cuba a mis en évidence tout ce qu'elle a fait depuis le triomphe de la Révolution, le 1er janvier 1959, qui a transformé radicalement ce qui était avant une réalité sombre et néfaste.

Il n'y a, dans notre pays, ni prisonniers politiques, ni disparition forcées, ni des arrestations arbitraires ou d'autres types d'abus.

Il y a un seul endroit de notre territoire où la torture est pratiquée et où il y a des prisonniers sans garanties légales, juridiques et humanitaires et c'est dans la base navale de Guantanamo que les États-Unis maintient sur une portion du territoire cubain contre la volonté du gouvernement et du peuple cubains.

Le gouvernement des États-Unis est le principal violateur des droits de millions d'enfants, de femmes , d'hommes et de personnes âgées de Cuba. Il maintient depuis presque 70 ans déjà un blocus économique, financier et commercial avec le but avoué inutile de faire plier ce peuple par la faim et les maladies.

Outre les vérités que la délégation a dites devant le Conseil des Droits de l'Homme, de nombreux pays de plusieurs continents ont exprimé leur respect, leur admiration et leur gratitude pour tout ce que notre petit pays, sans grandes richesses matérielles, fait également au-delà de ses frontières pour sauver des vies et porter la lumière, celle de la nature, des connaissances, de la santé, à des millions de dépossédés.

Cuba n'a jamais été le point de départ d'aucune attaque militaire contre d'autres peuples, bien au contraire, elle a envoyé des dizaines de milliers de médecins, d'enseignants, de sportifs, de chercheurs et d'autres cadres professionnels, remettre à d'autres personnes pas ce qu'elle a en trop, mais ce qu'elle a.

Cuba a accueilli des milliers de jeunes qui, dans leurs pays d'origine n'avaient pas d'opportunités. Après avoir partagé avec notre peuple sa richesse humaine, culturelle et académique, ils sont rentrés dans leurs pays pour mettre les connaissances acquises à Cuba au service de leurs concitoyens.

C'est pourquoi Cuba est un exemple et un espoir et c'est pourquoi ceux qui tirent profit de la douleur des autres tentent de cacher ce qui est fait chez nous car ils ont une peur panique du fait qu'un jour, dans le monde entier, la paix, la solidarité et la justice ne s'installent et que la justice et tous les droits, soient pour tous.