L'insertion de sportifs cubains dans les ligues étrangères est une nécessité qui exige de la rigueur pour donner une attention aux propres contrats , ont signalé plusieurs légendes de l'athlétisme mondial.

Les champions olympiques et du monde tels que les Cubains Ana F. Quirot, Javier Sotomayor et Alberto Juantonera et la Mexicaine Ana Guevara, sont tombés d'accord sur le fait que les démarches doivent être sûre et sans erreurs.

Ces derniers ont émis ces critères à propos de l'application ici d'une nouvelle politique d'encouragement à des sportifs et à des entraîneurs , qui comprend l'obtention d' un contrat à l'étranger.

«  Nous ne pouvons ouvrir la barrière comme ça : il faut connaître un domaine très complexe, chercher un conseiller juridique légal, pertinent et avoir tout bien défini dans le contrat »a signalé le double champion olympique Alberto Juantorena.

Pour Ana Fidelia Quirot, cette insertion aurait dû arriver plus tôt, mais elle a indiqué que Cuba devait poser les règles du jeu , pour ne pas commettre des erreurs et respecter les principaux objectifs du pays.

Champion olympique et recordman du monde depuis deux décennies, Javier Sotomayor a aussi souligné la valeur des matchs internationaux, toujours et quand les sportifs ne deviennent pas les machines de leurs clubs. Il a ajouté de plus, que de nombreuses fois ceux qui sont en orbite autour de celui qui offre un spectacle grâce à son talent , sortent plus de dividendes que le propre sportif, qui lui devrait être le plus rémunéré..

Ana Guevara est aussi d'accord sur le fait que la vie du sportif professionnel n'est pas précisément une panacée , car c'est lui qui fait des efforts et qui se sacrifie et à la fin il reçoit à peine une portion de ce qu'il rapporte.

La qualité du sport cubain est reconnue mondialement, et de ce fait ce pays a été victime récurrente du vol de talents et maintenant il ouvre posément ses portes au domaine professionnel.