La Havane, 22 avril, (RHC).- Michel Temer, président par intérim du Brésil, a reconnu que Dilma Rousseff a été évincée du pouvoir parce qu'elle n'a pas cédé au chantage d'Eduardo Cunha.
Sans trop de pudeur, celui qui a remplacé Dilma Rousseff à la présidence du Brésil a commenté : Regardez ce qui est curieux, si le Parti des Travailleurs avait voté en faveur de Cunha, alors président de la Chambre des Députés, à la Commission d'éthique, «il est très probable que Mme la présidente continue à son poste ».
Aujourd'hui, la côte de popularité de Michel Temer est au plus bas. Seul 5% des Brésiliens approuvent sa gestion.