Au cas contraire, la présidente autoproclamée, Jeanine Áñez, ferait l'objet d'un procès pénal pour non observation de la loi.
Vendredi, l'Assemblée Plurinationale de la Bolivie a nié le vote de confiance demandé par le régime de facto en faveur de Luis Fernando López, cité plusieurs fois à comparaître devant la députation pour expliquer les exactions de la police à Cochabamba, Senkata et El Alto à la suite du coup d'État contre le président Evo Morales.
Cependant, Jeanine Áñez l'a gardé à son poste en passant outre à la décision approuvé par deux tiers du Parlement contrôlé par le Mouvement vers le Socialisme.
La présidente de l'Assemblée Plurinationale de la Bolivie, Eva Copa, a alors menacé de faire tomber le poids de la loi sur Añez pour non observation de ses devoirs.