Il a été particulièrement critique envers la CIDH, la Commission Interaméricaine des Droits de l'Homme, qu'il a accusée d'être l'une des responsables de la situation créée dans une communauté indienne de l'Amazonie qui offre protection à trois opposants fugitifs de la justice, en faveur desquels l'organisme a demandé des mesures de sécurité.
Le chef de l'État équatorien a signalé à plusieurs reprises qu'il est aberrant que la CIDH ait son siège aux États Unis, un pays qui n'a pas ratifié la Convention Américaine des Droits de l'Homme et que la majorité de ses membres soient Étasuniens.