La Paz, 26 février (RHC) Le président de la Bolivie, Luis Arce, a déclaré aujourd’hui qu’il va relancer l’économie et la substitution des importations, touchées par la gestion de facto du gouvernement dirigé par Jeanine Áñez.
Dans un message sur le réseau social Twitter, le président a souligné l’octroi de crédits au secteur productif du département de Santa Cruz par le biais de la Banque de développement productif et a appelé les producteurs à accorder la priorité à l’industrialisation du pays.
Arce a promu la veille, lors de la cérémonie d’inauguration du viaduc Santa Cruz-Warnes, qui contribuera à arriver à 2025, année du bicentenaire de la déclaration d’indépendance, avec une économie absolument diversifiée.
La nation cherchera à rédresser les finances non seulement avec l’exportation de gaz, mais aussi avec l’industrialisation du lithium, la production d’acier, le remplacement des importations et l’exportation d’électricité, entre autres actions, a-t-il expliqué.
Fondamentalement, l’objectif est de faire de la Bolivie 'un grand acteur sur le marché alimentaire' en fonction de la production à Santa Cruz, a souligné.
Puis, il a souligné que l’aspiration centrale est de faire un saut qualitatif, et il a insisté sur le fait que l’économie de la population bolivienne a été «arrachée avec de mauvaises actions par le retour au néolibéralisme sous le gouvernement fasciste de droite, qui a usurpé le pouvoir pendant 11 mois portant préjudice à l’état.
Le chef d’état a rappelé que son administration avait déjà mis en œuvre plusieurs mesures, telles que le Bon contre la faim et le Plan de relance de l’investissement public, le tout à l’horizon 2025.
Depuis la campagne électorale du 18 octobre 2020, Arce a déclaré qu’il travaillerait sans relâche pour reconstruire l’économie bolivienne, faire face à la pandémie de Covid-19 et rétablir la démocratie.
Après son entrée en fonction en novembre dernier, il a soutenu le secteur de la population qui l’á élu président et il a particulièrement encouragé une stratégie pour avancer financièrement, dont l’une des priorités est de revenir à un ordre social communautaire plus juste et inclusif.
Source Prensa Latina
