Au cours de l’audience, les proches des détenus et des militants de droits humains ont dénoncé la privation d’aliments comme l’une des tortures infligées à ceux qui sont écroués dans les prisons de l’Équateur.
Le juge Francisco Chacon a également décidé qu’en attendant la solution de ce problème les autorités devront faciliter l’entrée des aliments et médicaments dans les prisons.
Jeudi, le président Daniel Noboa a affirmé que la société Laffattoria chargée du ravitaillement des prisons finance des organisations criminelles.
Le Pdg de l’entreprise, Richard Villagran, a accusé le gouvernement de mener un sale jeu politique. Il a souligné que Laffattoria avait cessé l’approvisionnement des prisons faute de paiements de la part du gouvernement. Il a assuré que le gouvernement doit à la société 30 millions de dollars.
Source : Prensa Latina