La Havane, 14 décembre, (RHC)- Le Venezuela a condamné vendredi ce qu'il a appelé une déclaration infâme publiée par le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme.

Le ministère vénézuélien des Affaires étrangères a dénoncé le fait que le Haut Commissaire, Volker Turk, qui a du sang sur les mains à cause du meurtre d'enfants à Gaza, en Syrie et au Liban, a l'intention d'attaquer le Venezuela en répétant le récit fabriqué par l'extrême droite nationale.

Peu avant, Volker Turk avait déploré, entre autres, des arrestations arbitraires présumées.

La déclaration du ministère vénézuélien des Affaires étrangères souligne que le Haut Commissaire aux droits de l’homme ignore délibérément les actions violentes financées depuis l'étranger, qui, au lendemain des élections de juillet dernier, ont fait 28 morts, y compris des crimes de haine, et des centaines de blessés, parmi lesquels des agents de la sécurité de l'État.

Le ministère des Affaires étrangères soutient que le Venezuela est un État souverain et garant des droits de l'homme.

Le texte souligne que, contrairement à ce que cet organe politisé tente de faire croire, «les institutions vénézuéliennes ont agi dans le strict respect de la loi, en garantissant les droits et en accordant des avantages procéduraux aux détenus.

La République bolivarienne a exigé le respect absolu de ses institutions et de sa démocratie, et a réaffirmé qu'elle continuerait à défendre fermement son indépendance contre les attaques de toute puissance étrangère ou de ses complices internes.

«Notre lutte pour la souveraineté, la paix et le bien-être du peuple vénézuélien est inébranlable et nous affronterons courageusement toute menace», souligne la déclaration.

 

Source : Prensa Latina