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La Havane, 29 déc. (RHC) Le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez a récemment mis en avant le soutien et la solidarité internationale en rejet de la politique hostile des États-Unis contre son pays.
Sur son compte Twitter, le chef de la diplomatie cubaine a déclaré que 2021 a été une année difficile, en raison des tensions découlant de la pandémie de Covid-19 et du renforcement du blocus économique, commercial et financier imposé par Washington à La Havane.
Bruno Rodriguez a rappelé que le panorama est devenu plus complexe, en raison des opérations de déstabilisation instiguées par les États-Unis, visant à nuire au processus interne et à la paix des citoyens cubains.
Cependant, «Cuba n’est pas toute seule», a écrit le ministre cubain des Affaires étrangères.
Au cours de cette année, la plus grande des Antilles a reçu des médicaments, des aliments et d’autres fournitures d’un peu partout dans le monde. Ce geste démontre, si besoin était, le rejet du siège de la Maison Blanche, appliqué depuis six décennies, et dont les dommages sont estimés à plus de 147 milliards de dollars.
Outre la contribution des gouvernements, dans le cadre de la recrudescence de la l’urgence sanitaire dans l’île, plusieurs organisations, des groupes d’amitié et des Cubains vivant à l’étranger ont collecté des fonds et ont fait parvenir des ressources.
Cette solidarité a également trouvé des échos dans le cyberespace, où l’on a affronté la subversion qui a tenté cette année à nouveau de renverser l’ordre socio-économique et politique de Cuba.
Là, les amis du monde entier ont partagé des messages soutenant notre pays et condamnant l’ingérence dans ses affaires intérieures par l’intermédiaire d’une opération médiatique à des tactiques typiques de la guerre non-conventionnelle.
Pendant une grande partie de cette année, notamment le dernier week-end de chaque mois, des centaines de ville dans le monde ont été les théâtres de caravanes pour la paix, l’amour et la solidarité, de rassemblements, des rencontres culturelles et des débats sur les réseaux sociaux.
Source: Prensa Latina