La Havane, 18 juillet (RHC) Le premier secrétaire du Comité Central du Parti Communiste de Cuba et président de la République, Miguel Díaz-Canel a ratifié mardi à Bruxelles la volonté de son pays de continuer à renforcer la coopération avec les mécanismes des Droits de l'Homme de l'Organisation des Nations Unies (ONU).
Dans son profil Twitter, le président a indiqué que lors d'une réunion dans la capitale belge avec le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Volker Türk, il a exprimé cette volonté, sur la base d'un dialogue respectueux et constructif.
Photo : @DiazCanelB
Dans le cadre de son agenda de travail dans le contexte du IIIe Sommet Celac-Union européenne, Díaz-Canel a également rencontré aujourd’hui dans la capitale belge le chancelier fédéral allemand, Olaf Scholz.
À cette occasion, ils ont confirmé leur volonté commune d'approfondir le dialogue politique et leur intérêt pour le renforcement et l'élargissement des liens économiques, commerciaux et de coopération dans l'intérêt des deux nations.
Le chef d'État cubain s'est également entretenu avec la secrétaire mexicaine aux Affaires étrangères, Alicia Bárcena.
Lors du sommet, Cuba a appelé à l'établissement de relations meilleures, plus justes, plus équilibrées, plus solidaires et plus coopératives afin d'améliorer la vie des peuples.
S'exprimant la veille lors du forum intercontinental, le chef d'État cubain a exhorté à promouvoir la coopération dans des secteurs tels que le financement du développement, le transfert de technologies, les énergies renouvelables, la transformation numérique, la recherche scientifique et l'innovation, le commerce et l'investissement.
Il a également salué la position solide de l'Amérique latine, des Caraïbes et de l'UE, qui ont rejeté le renforcement du blocus économique, commercial et financier imposé par les États-Unis à la nation antillaise depuis plus de 60 ans.
Il a souligné le rejet de l'inclusion de Cuba dans la liste établie par Washington des pays qu'elle considère comme des sponsors du terrorisme, un mécanisme qu'il a qualifié de frauduleux et d'unilatéral, car il ne bénéficie pas d'une reconnaissance et d'une protection internationales. (Source : Prensa Latina)