Pourquoi sommes-nous de gauche, a-t-il demandé. Parce que nous sommes en faveur des dépossédés, nous sommes en faveur des pauvres. Être de gauche, c'est être en faveur de la justice, être honnête et être démocrate", a-t-il déclaré.
Dans un processus de transformation tel que celui que connaît le Mexique, a-t-il expliqué, il est nécessaire de s'appuyer sur le peuple. Il a été démontré que les pauvres sont vraiment loyaux, a-t-il dit.
Il a déclaré que la droite était raciste, classiste et capable de faire n'importe quoi, et a donné comme exemple le coup d'État sanglant en Bolivie contre le président constitutionnel Evo Morales.
Il a également mentionné la crise financière en Argentine, créée par le Fonds monétaire international pour tenter de réélire Mauricio Macri, mais qui n'a pas réussi et qui blâme maintenant le gouvernement actuel.
Le président a donné un autre exemple de ce dont la droite est capable, en déclarant que le soi-disant Front large pour le Mexique, qui regroupe les partis Action nationale, Révolution institutionnelle et Révolution démocratique, vient de nommer directeur de la sécurité un homme inculpé par la justice, l'ancien gouverneur du Tamaulipas, Francisco García Cabeza de Vaca.
Il a insisté sur le fait qu'il était en faveur des changements, des transformations, et "je maintiens que la droite est opposée à la justice sociale", a-t-il souligné.
Le gouvernement des riches se consacre au pillage parce qu'il n'est pas vrai que ceux qui n'ont plus d'argent n'en ont pas besoin, l'argent appelle l'argent, a-t-il affirmé.
Source : Prensa Latina
