Sous le titre « Desde cuando el terrorismo no es tan malo» (Depuis quand le terrorisme n'est pas si mauvais) René González commente dans son article le fort impact qu'ont eu dans la mémoire collective du peuple cubain les crimes perpétrés par les assassins à la solde du gouvernement des États-Unis.
L'article rappelle des attentats terroristes comme la destruction en plein vol d'un d'avion cubain de passagers le 6 octobre 1976 qui a tué les 73 passagers qui se trouvaient à bord, les attentats contre des écoles et des hôtels, les attaques contre des villages côtiers, l'assassinat d'alphabétiseurs et beaucoup d'autres actions qui avaient pour but de renverser la Révolution Cubaine.
René González souligne comment le devoir de lutter pacifiquement contre de tels plans l'a amené, aux côtés de ses camarades, à s'infiltrer dans les groupes terroristes anti-cubains qui ont pignon sur rue à Miami, pour éviter de nouveaux actes de terrorisme.
Il rappelle comment, à l'aube du 12 septembre 1998, des équipes du FBI ont pris d'assaut les logements des 5. Il a ajouté que , deux ans plus tard, devait commencer le procès le plus long de l'histoire étasunienne, qui a été mystérieusement passé sous silence par la grande presse.
René González signale dans l'article que le procès truqué à abouti aux peines injustes que purgent encore 3 de ses camarades. Cependant, il relève que tout au long de ces 16 ans , les actes arbitraires commis contre les 5 ont provoqué la condamnation de la part d'avocats, de 10 Prix Nobel de la Paix, de groupes parlementaires, un verdict condamnatoire du Comité sur les Détentions Arbitraires de la Commission des Droits de l'Homme de l'ONU, d'Amnistie Internationale et de centaines de personnalités du monde.
