Critina Fernández dénonce la campagne de discrédit qui la prend pour cible

Édité par Reynaldo Henquen
2016-12-30 15:03:48

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Buenos Aires, 30 décembre (RHC)- Au milieu d'une persécution politique draconienne contre elle, l'ex présidente argentine Cristina Fernández a signalé que la seule chose qui manque c'est qu'on l'accuse de la mort du président étasunien John Kennedy, assassiné en 1963.

C'est ainsi que l'ex présidente argentine a répondu au verdict de la Chambre Fédérale de Cassation qui a ordonné la reprise de la dénonciation contre elle pour une présumé tentative de complicité dans l'attentat contre l'AMIA, l'Association Mutuelle Israélite de l'Argentine.

Dans un message posté sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter, Cristina Fernández a relevé qu'on l'accuse de complicité dans cet attentat perpétré cela fait 22 ans et demi.

Selon le site Infonews, hier, au cours d'une réunion, Chambre Fédérale de Cassation s'est prononcée pour la réouverture d'une enquête sur l'affaire au sujet de laquelle trois juges fédéraux ont prononcé un non-lieu car elle n'implique aucun délit.

En 1994, une attaque terroriste à la voiture piégée contre le siège de cette entité juive à Buenos Aires, a fait 85 morts et plus de 300 blessés.



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