Brasília, 10 février (RHC)- L'assassinat d'un leader syndical du secteur des transports a provoqué une nouvelle paralysie des autobus dans l'État d'Espirito Santo, au Brésil où, en six jours, une centaine d'assassinats ont été commis à cause d'une grève de la police.
Selon des informations de la presse locale, des groupe de maffiosi, des para-policiers et des délinquants de droit commun se sont emparés des rues à Espirito Santo.
Les transports en commun ont paralysé leurs services à cause de l'assassinat de Walas Fernaziari, président du syndicat de chauffeurs de la ville de Guarapiri.
La révolte a commencé dans ce territoire suite à la demande des policiers d'une augmentation de leurs salaires qui n'ont pas été majorés en quatre ans.