Genève, 23 janvier (RHC)- Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a déclaré que la première journée des conversations de la Conférence Genève II pour aborder la situation en Syrie , s'est terminée sans avancées cruciales. Il a appelé toutes les parties impliquées à un dialogue ouvert avec la médiation de son représentant spécial, Lahdar Brahimi, pour mettre un terme aux actions terroristes. IL a fait des vœux pour que les parties en conflit décident d'un cessez le feu, libèrent les prisonniers et garantissent l'accès de la population à l'aide humanitaire.
Le chef de la diplomatie syrienne, Walid Muallem, a demandé à la communauté internationale d'arrêter son appui à l'opposition armée. Il a réitéré que la Syrie est un pays souverain et qu'il fera ce qu'il considérera comme nécessaire pour défendre les intérêts de son peuple.
Il a signalé que nul n'a le droit d'enlever la légitimité à un président ou à un gouvernement et que seul le peuple qui l'a élu peut le faire.