La Paz, 30 octobre (RHC)- Le président de la Bolivie, Evo Morales, a rejeté l'envoi de 5 200 soldats par les États-Unis à la frontière sud de ce pays sous prétexte d'éviter l'entrée de la caravane de migrants centraméricains.
Sur son compte twitter, Evo Morales a condamné ces actions étasuniennes. Il a appelé des organismes comme l'OEA,l'Organisation des États Américains et l'ONU à agir face à de telles initiatives de l'administration Trump.
L'opération baptisée « Patriote fidèle » a été décrite par les États-Unis comme un effort pour aider le Bureau des Douanes et de Protection Frontalière à renforcer les défenses dans des points d'entrées légaux et dans les zones proches du sud des États du Texas, de l'Arizona et de la Californie.