Buenos Aires, 22 mai (RHC)- D'anciens fonctionnaires, des dirigeants et des activistes sociaux de l'Argentine ont appuyé l'innocence de l'ex-présidente Cristina Fernández qui a assisté à la première audience du procès oral pour la cause « Vialidad » sur un présumé délit de corruption.
Parmi eux figurent la présidente des Mères de la Place de Mai, Hebe de Bonafini et la leader de l'Association des Grand-mères de la Place de Mai, Estela de Carlotto, qui, aux côtés d'autres défenseurs des droits humains et du peuple en général, ont poussé des vivats à Cristina Fernández en face du siège du tribunal.
La Tribune Orale Fédérale 2 a commencé les audiences bien que la Cour Suprême ait évoqué la possibilité que le procès soit déclaré nul et non avenu ou interrompu faute de preuves ce qui démontre son caractère politique et la persécution déclenchée contre l'ex-présidente.