Madrid, 7 avril (RHC)- Des organisations politiques de l’Espagne ont dénoncé les mesures coercitives des États-Unis contre Cuba, le Venezuela, l’Iran et la Palestine au milieu de la lutte contre le coronavirus.
Dans un communiqué adressé à la Haute Commissaire des Nations Unies pour les Droits de l’Homme, Michelle Bachelet, près de 60 collectifs et associations sociales de l’Espagne ont exigé la suspension des sanctions et des blocus étasuniens contre le Venezuela, contre Cuba, contre l’Iran et contre la Palestine afin que ces nations puissent faire face à la crise sanitaire provoquée par le nouveau coronavirus.
Les organisateurs ont affirmé que les mesures coercitives des États-Unis sont en train d’empêcher que divers organismes internationaux puissent fournir des aliments et des médicaments à la population de ces pays craignant les menaces et les représailles de Washington.
Ils ont dénoncé le fait que de façon inhumaine, les États-Unis ont renforcé le siège économique contre le Venezuela, Cuba et l’Iran et qu’Israël l’a fait contre le Bande de gaza.
Ils ont demandé des actions urgentes contre ces actes inhumains qui violent les droits de l’Homme.