Washington, 3 juillet, (RHC).- Le président étasunien, Donald Trump, aurait utilisé l’argent volé au Venezuela pour dresser une partie du mur à la frontière avec le Mexique, selon une étude diffusée sur le site Internet www.thegrayzone.com.
On estime à 24 milliards de dollars le pillage du trésor public du Venezuela et l’administration Trump aurait investi au moins 601 millions de dollars pour bâtir ce mur, précise l’investigation.
Souscrite par Ben Norton, journaliste, écrivain et cinéaste nord-américain, la dénonciation précise que depuis la tentative de coup d’État contre le gouvernement légitimement élu au Venezuela, en janvier 2019, 24 milliards de dollars en biens publics vénézuéliens ont été confisqués par des pays étrangers, notamment par les États-Unis et les États membres de l’Union Européenne.
«Incapable d’obliger les États-Unis à financer son projet favori, Trump a eu recours à l’argent vénézuélien », signale Norton qui cite comme source la chaîne de télévision UNIVISION. Celle-ci a révisé les registres du Congrès des États-Unis et des documents judiciaires dans lesquels elle a trouvé que l’administration Trump a profité de 601 millions de dollars du «fond de confiscation» du Département du Trésor pour compléter la construction du mur à la frontière avec le Mexique.
Source: Prensa Latina