Mexique, 21 octobre (RHC) Le XXVe Séminaire International « Les partis et une nouvelle société », parrainé par le Parti du Travail du Mexique, a été inauguré aujourd’hui par son coordinateur national Alberto Anaya, qui a souligné son importance.
La rencontre se déroulera jusqu’au 23 de ce mois avec le co-parrainage et la participation de représentants de plus de 130 organisations politiques de 45 pays d’Amérique latine et des Caraïbes pour la plupart, et d’Europe, d’Asie et d’Afrique.
Les délégués aborderont trois grands sujets d’actualité : 1) la Conjoncture de l’Amérique latine et des Caraïbes. L’Agression et l’ingérence impérialistes et les résistances sociales et politiques. 2) Le Nouveau redimensionnement géopolitique et géoéconomique mondial. 3) la Crise du néolibéralisme.
Le premier, qui consommera probablement toute la journée d’aujourd’hui en raison du nombre de demandes d’intervention, sera centré sur l’analyse des pays qui luttent contre l’agression impériale, citant Cuba, le Nicaragua et le Venezuela comme étant la plus haute expression
Une deuxième session sur le même thème concerne les gouvernements progressistes confrontés à l’ingérence impérialiste comme le Mexique, l’Argentine, la Bolivie et le Pérou, et enfin une autre réunion des administrations de droite et de leurs offensives autoritaires aux traits néofascistes, qui luttent contre les mouvements sociaux.
En ce qui concerne la question numéro deux sur le nouveau redimensionnement géopolitique et géoéconomique mondial, à l’ordre du jour de demain, elle inclut la contre-offensive impérialiste et multipolaire, les cas de la Chine et de la Russie en tant que puissances émergentes, en plus d’une analyse de l’Union européenne dans le contexte actuel et des alliances transversales.
Ce segment prend fin par une question à la fois stratégique et philosophique, comme l’interconnexion mondiale entre les gouvernements, les économies et les sociétés.
Pour la fin des débats, les organisateurs ont laissé le thème la Crise du néolibéralisme comme une question de haute stratégie politique dans laquelle l’analyse de la dette extérieure est en tête de liste des sous-thèmes. La pandémie de Covid-19, qui est également citée comme prétexte pour la marchandisation de la santé, est un autre sujet à l’ordre du jour de la rencontre..
En outre, ils aborderont les défis des peuples pour trouver de nouvelles formes d’intégration, la crise climatique et les responsabilités systémiques, et enfin la crise migratoire dans son actualité et sa portée.
Parmi les personnalités internationales invitées figure l’ancien président bolivien Evo Morales, qui représente le Mouvement vers le Socialisme.
Cuba y est représentée par le vice-chef et coordinateur des Relations Internationales du Parti Communiste Ángel Arzua.
Source Prensa Latina