De la fumée recouvre cette station balnéaire de Lesbos, en Grèce.
La multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes est une conséquence directe du réchauffement climatique selon les scientifiques, les émissions de gaz à effet de serre augmentant à la fois leur intensité, leur durée et leur fréquence.
Lesbos, Grèce, 24 juillet (RHC) Des touristes et habitants ont été évacués ce samedi d’une station balnéaire populaire de l’île grecque de Lesbos, après qu’un feu de forêt a détruit des maisons du village de Vatera.
Les pompiers ont déployé sept avions et un hélicoptère pour lutter contre cet incendie, en attendant des renforts qui doivent arriver du nord de la Grèce.
L’incendie, qui s’est déclaré à 10h locales samedi, se propageait sur deux fronts, l’un vers le village de Vrisa et l’autre vers l’intérieur de Vatera.
Le maire de Lesbos-Ouest, Taxiarchis Verros, a ordonné l’évacuation par précaution de la station balnéaire animée, sur les conseils des pompiers, a rapporté l’agence de presse grecque ANA.
Le maire n’a pas précisé le nombre de personnes évacuées, mais plusieurs bus et des petits bateaux ont participé à l’opération.
Samedi, les pompiers menaient aussi leur troisième journée de lutte contre un violent incendie dans le Parc national Dadia, le plus grand site Natura 2000 du pays, connu pour sa colonie de vautours, dans la région d’Evros, dans le nord-est de la Grèce.
Les secours ont précisé que l’épaisse fumée dégagée par le feu avait empêché l’intervention des avions de lutte contre les incendies.
Mercredi, un incendie de forêt survenu dans les montagnes près d’Athènes a endommagé des maisons et obligé plusieurs centaines de personnes à évacuer.
En 2018, la Grèce a connu sa pire catastrophe provoquée par un feu de forêt : dans la banlieue côtière de Mati, un incendie avait tué 102 personnes, à quelques kilomètres de la zone touchée mercredi.
Un hommage aux victimes a été rendu samedi dans la ville de Mati.
Le maire de Lesbos-Ouest, Taxiarchis Verros, a ordonné l’évacuation par précaution de la station balnéaire animée, sur les conseils des pompiers, a rapporté l’agence de presse grecque ANA.
Le maire n’a pas précisé le nombre de personnes évacuées, mais plusieurs bus et des petits bateaux ont participé à l’opération.
Au moins deux maisons ont été ravagées par les flammes, selon la télévision d’Etat ERT.
Samedi, les pompiers menaient aussi leur troisième journée de lutte contre un violent incendie dans le Parc national Dadia, le plus grand site Natura 2000 du pays, connu pour sa colonie de vautours, dans la région d’Evros, dans le nord-est de la Grèce.
Les secours ont précisé que l’épaisse fumée dégagée par le feu avait empêché l’intervention des avions de lutte contre les incendies.
Mercredi, un incendie de forêt survenu dans les montagnes près d’Athènes a endommagé des maisons et obligé plusieurs centaines de personnes à évacuer.
En 2018, la Grèce a connu sa pire catastrophe provoquée par un feu de forêt : dans la banlieue côtière de Mati, un incendie avait tué 102 personnes, à quelques kilomètres de la zone touchée mercredi.
L’an passé, une vague de chaleur et des feux de forêt ont détruit 103 000 hectares et tué trois personnes en Grèce.
La multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes est une conséquence directe du réchauffement climatique selon les scientifiques, les émissions de gaz à effet de serre augmentant à la fois leur intensité, leur durée et leur fréquence.
Avec AFP