La Havane, 19 sept. (RHC)- La ministre vénézuélienne de l’Éducation, Yelitzie Santaella, a assuré devant l’ONU que dans son pays l’éducation est aujourd’hui non seulement un droit humain fondamental mais aussi un devoir social.

S'exprimant lors du Sommet sur la transformation de l'éducation 2022, elle a souligné que l'État vénézuélien garantit, par le biais du plan de développement, une éducation gratuite et de qualité pour tous, tant dans l'enseignement public que privé.

La ministre Santaella a dénoncé le coup porté aux enseignants par le blocus économique et financier imposé par les États-Unis, qui, a-t-elle dit, "ont également subi l'impact des actions coercitives".

À cet égard, elle a exigé le déblocage des ressources financières retenues à la République bolivarienne par ces mesures punitives unilatérales, qui ont entravé la réalisation de la transformation de l'éducation et la réalisation des objectifs de développement durable et de l'Agenda 2030.

Le Venezuela, a-t-elle fait remarquer, connaît une situation de rétention illégale de ses ressources financières par les États-Unis, en violation du droit international.

Source: Prensa Latina