Cette entité, mise en place à Villavicencio, une municipalité du département de Meta, à quelque 120 kilomètres au sud-est de Bogotá, fait partie des accords signés entre le gouvernement national et le groupe armé, rappelle le site officiel de la présidence colombienne.
Le dispositif couvre l'est du pays et l'Amazonie colombienne.
Le communiqué ajoute que cet organisme sera chargé de vérifier le respect des engagements du cessez-le-feu bilatéral conclu entre le gouvernement et le Commandement central des Forces armées révolutionnaires de Colombie.
L’entité effectuera également un travail préventif pour éviter les affrontements entre les parties et les violations des droits de la population civile.
Le mécanisme de Villavicencio est le deuxième des cinq approuvés, après celui de Bucaramanga.
Des représentants du ministère de la défense nationale, des forces militaires et policières, du bureau du haut-commissaire pour la paix, de l'état-major central des FARC, de la conférence épiscopale, du conseil œcuménique des églises et des Nations Unies ont participé à sa création.
Source : Prensa Latina