Bernardo Arévalo a été investi tôt lundi matin à la présidence de ce pays d'Amérique centrale pour le mandat 2024-2028, après une journée sans précédent qui a été retardée par ses opposants.
Dans une déclaration, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a salué les engagements pris par le président pour promouvoir la paix, la justice sociale, le développement humain, la transparence et les réformes démocratiques.
Le chef de l’ONU a réaffirmé la volonté des Nations Unies d'accompagner le Guatemala et ses ressortissants dans ces efforts.
Bernardo Arévalo a été investi tôt lundi matin à la présidence de ce pays d'Amérique centrale pour le mandat 2024-2028, après une journée sans précédent qui a été retardée par ses opposants.
Dans ses premiers mots à la nation, le nouveau président a qualifié ce jour d'historique.
"Nous avançons sur le chemin que beaucoup d'entre nous ont tracé avec effort, marquant une étape importante grâce à l'exercice de la démocratie", a-t-il souligné.
"Ce moment ne représente pas seulement un accomplissement personnel, mais un pas ferme vers un avenir où la participation citoyenne et le changement positif prévaudront", a déclaré Bernardo Arévalo, sociologue de profession.
Il a pris ses fonctions en espérant s'attaquer à la corruption profondément enracinée dans le pays.
De l'avis de plusieurs analystes, son arrivée au pouvoir confirme le réveil politique d'une population fatiguée de ce fléau et d'autres maux tels que l'impunité. (Source : Prensa Latina)