Nations Unies, 24 septembre (RHC-PL) Le Sommet sur le Climat organisé à l'initiative du secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, s'est achevé à New York. De nouvelles propositions ont émané des débats, qui ont porté sur la lutte contre le réchauffement climatique.

Les plus de 120 chefs d'État et de gouvernement et représentants de la société civile et du secteur privé qui ont participé aux discussions se sont donné rendez-vous pour un prochain sommet, à Paris, l'année prochaine.

Les représentants des pays africains et des petits États insulaires ont exprimé leur inquiétude et ont accusé les pays les plus industrialisés, qui sont les plus gros pollueurs, de ne pas tenir leurs engagements notamment en ce qui concerne l'aide au développement.

Les délégués des petits pays en voie de développement ont de nouveau averti qu'ils ne pourront pas financer les projets de lutte contre le réchauffement climatique si les pays riches n'apportent pas leur soutien financier et technologique.

Lors de son intervention au Sommet, Evo Morales, a également pointé du doigt le rôle qui incombe aux pays riches. Il a déclaré :

« Les pays développés, en raison de leur responsabilité historique, doivent être à l'initiative pour faire face à ce défi conformément aux principes et aux dispositions de la Convention Cadre des Nations Unies sur le changement climatique »