Le Guyana s’est dit gravement préoccupé après l’adoption de cette loi qu’il a vue comme une violation flagrante de sa souveraineté.
Un communiqué du ministère des Affaires étrangères souligne que cette loi a été approuvée conformément à un mandat souverain du peuple vénézuélien, exprimé lors d’un référendum en décembre dernier.
Le texte souligne d’autre part que l’accord de Genève signé en 1966 est le seul instrument valable pour résoudre de manière amiable, pratique et satisfaisante le différend frontalier entre les deux pays.
Le texte dénonce également la manœuvre dangereuse ourdie par Exxon Mobil, transnationale du pétrole, avec le soutien du Commandement Sud des États-Unis et
La veille, le Président Nicolas Maduro a dénoncé l’installation de bases militaires secrètes des États-Unis dans l’Essequibo.
Il a dit disposer des informations vérifiées sur l’installation de bases militaires secrètes dans l’Essequibo, conçues pour lancer des agressions contre les populations du sud et de l’est du Venezuela.
Source : Prensa Latina