Phot Daniel Galeana. El Sol de México
"Il n’y a pas de place pour des hésitations. Ces faits doivent être condamnés par la communauté internationale pour sauvegarder les lois internationales. La conduite disproportionnée du gouvernement de l’Équateur ne doit constituer aucun précédent", a souligné la cheffe de la diplomatie mexicaine.
Le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno Rodriguez, a proposé, quant à lui, la diffusion d’un communiqué urgent pour condamner la violation de l’ambassade et l’agression contre son personnel diplomatique.
Il a appelé le bloc régional à réagir d’une voix ferme et unie face à ces événements inacceptables.
Le Honduras, en sa qualité de président temporaire de
De son côté, le président équatorien, Daniel Noboa, a eu recours à l’OEA, l’Organisation des États Américains, tristement connue dans la région comme le ministère des colonies des Etats-Unis.
Alejandro Dávalos, vice-ministre équatorien des Affaires étrangères, a accusé le Mexique de porter atteinte à la figure de l’asile politique.
Il a avancé comme argument que Jorge Glas, considéré comme un exemple de persécution politique et judiciaire dans la région, était poursuivi par la justice.
Sources : Plusieurs