Pourtant selon les premiers résultats annoncés, la majorité des questions proposées par le gouvernement de Daniel Noboa, les Équatoriens auraient approuvé la majorité des questions.
Luisa Gonzalez, présidente du mouvement Révolution Citoyenne, a déclaré qu’empêcher la proposition de travail horaire et l’arbitrage international mettent un frein aux intentions de l’exécutif.
Elle a réitéré qu’une telle consultation n’était pas nécessaire parce que les questions concernant la sécurité, qui ont eu l’approbation des citoyens, sont d’ores et déjà débattues au sein de l’Assemblée Nationale.
"C’est une victoire populaire, mais la situation du pays est tragique" a signalé de son côté, l’ancien président Rafael Correa, leader de Révolution Citoyenne. Il a dit que désormais le président Noboa n’aura plus d’argument pour justifier un éventuel échec de sa stratégie de sécurité.
Le président du mouvement indigène Pachakutik, Guillermo Churuchumbi, a également salué le non à la régression des droits du travail que prétendait le gouvernement.
Source : Prensa Latina