Après le vote, 142 voix pour, 106 contre et 5 abstentions, les élus ont entamé l’analyse du projet de loi chapitre par chapitre.
Sur X, le secrétaire général de l’Association des Travailleurs de l’État, Rodolfo Aguiar, a souligné que cette loi met la nation à genoux et l’État au service du pillage.
Il a rappelé que dans le projet de loi, de plus de 200 articles il n’y a aucune mesure en faveur des salariés, des retraités ou des secteurs populaires.
De son côté, Jorge Taiana, ex-ministre argentin de
Cette loi enlève des droits, revient aux privatisations des années 90, dissout des institutions et donne des facultés à un président qui vante le délit financier et qui veut détruire l’État, a-t-il souligné.
Par ailleurs, des manifestations syndicales ont condamné à Buenos Aires et dans les principales villes de l’Argentine le programme néo-libéral du président Milei.
Source : Prensa Latina