Pourtant, il était pointé du doigt pour avoir donné son aval à la décision de la présidente Dina Boluarte d’enlever la garde policière à l’équipe spéciale de procureurs contre la corruption au sein du Pouvoir.
Lui et la présidente font l’objet d’une enquête du Parquet pour cette action.
Dans le cas de Walter Ortiz, pour un délit contre l’administration de la justice, dans la modalité de recel.
Walter Ortiz avait été investi le premier avril pour remplacer Victor Torres, très critiqué en raison du taux élevé de la criminalité et l’insécurité au Pérou.
Source : RT