Dans son étude, le CEPA précise que pendant les premiers mois de gestion du président Javier Milei, 7 mille 820 entreprises employant jusqu’à 500 travailleurs ont dû fermer leurs portes de même qu’une quarantaine de sociétés avec un nombre supérieur d’employés.
Sauf le raffinage du pétrole, tous les secteurs industriels ont été touchés par les licenciements massifs de travailleurs, ce qui confirme la récession économique généralisée en Argentine.
Source : Prensa Latina