Une déclaration du ministère vénézuélien des Affaires étrangères qualifie ces actions de "nouveau crime d'agression", dénonce ces mesures, appelées à tort "sanctions", comme étant illégitimes et illégales et souligne que cette action démontre "une fois de plus leur mépris total du droit international, de l'autodétermination des peuples et de la volonté démocratique des Vénézuéliens".
Les mesures coercitives étasuniennes visent notamment la présidente et plusieurs magistrats du Tribunal suprême de justice et les plus hauts responsables du Conseil National Electoral
Le document du ministère vénézuélien des Affaires étrangères souligne que ces mesures violent les accords signés au Qatar et les décrit comme une tentative d'imposer à un pays entier et à ses institutions politiques un changement de régime dans le cadre de la doctrine Monroe. (Source : TeleSur)