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Le souverain pontife a ainsi réagi à la question d’un journaliste qui accompagnait la délégation papale à son retour au Vatican, au sujet de l’élimination du leader de Hezbollah, Hassan Nasrallah.
L’attaque de vendredi à Beyrouth a ciblé une superficie supérieure à un pâté de maisons et réduit plusieurs bâtiments résidentiels en ruines, et au moins six autres décès ont été confirmés.
"Quand il y a quelque attaque disproportionnée, il y a une tendance dominante qui va au-delà de la moralité", a-t-il déclaré. "Un pays qui fait ces choses -et je parle de n'importe quel pays-, ce sont des actions immorales".
François a souligné que même si la guerre elle-même est immorale, il existe des règles qui "indiquent une certaine moralité".
"Mais quand vous ne faites pas cela… vous voyez le mauvais sang de ces choses", a déclaré l’évêque de Rome.
La mort de Nasrallah a provoqué une onde de choc au Liban et dans tout le Moyen-Orient. (Sources : Plusieurs)