Son commentaire est intervenu quelques minutes après que le Conseil national électoral (CNE) a procédé, en dépit de l’esprit et la lettre de
Son directeur de campagne, Ricardo Roa, sa trésorière de campagne, Maria Lucy Soto, l’auditeur Juan Carlos Lemus, les partis Colombie humaine et Union Patriotique sont également visés dans le cadre de cette enquête, en raison de leur responsabilité apparente dans la violation des plafonds établis pour le suffrage de 2022, selon El Tiempo.
Les allégations présentées par deux juges d’instruction liés à l’opposition sont basées sur des fonds non déclarés, allant de dons et du paiement de témoins électoraux au déboursement de voyages en avion et à la location d'espaces utilisés pour des événements de campagne.
Le président Petro a nié ces accusations, clarifié en détail l'origine de l'argent en question et assuré que le CNE avait inclus dans son dossier des actes antérieurs au début de la campagne, une facture erronée qui a été modifiée par la suite et un calcul tendancieux des heures de vol, qui ne correspond pas à la méthodologie établie pour ce genre de cas.
La sénatrice Martha Peralta a fait écho aux propos du président en déclarant qu'un "coup d'État" avait commencé car, selon la législation locale, "la seule autorité compétente pour enquêter" sur le président de
"La décision du CNE d'inculper le président Gustavo Petro crée un précédent qui viole
Sources : Plusieurs