Il a réitéré que les personnes arrêtées pour les émeutes qui ont eu lieu au lendemain des élections présidentielles, ne sont pas des prisonniers politiques, mais «des criminels qui se sont prêtés à des actions terroristes, à la solde des comanditos pour déclencher une guerre civile au Venezuela».
Le procureur général du Venezuela a estimé qu'il était «totalement contraire à l'éthique de vouloir présenter ces cas comme s'ils étaient de nature politique» et il a assuré que dans le pays « il n'y a pas d'enfants en détention», mais «des adolescents de 16 et 17 ans qui ont avoué avoir été utilisés pour commettre ces actes de violence».
Tarek William Saab a déclaré que le ministère public disposait de «260 vidéos documentant les actions de ces groupes criminels» et de «nouvelles vidéos montrant de graves blessures infligées à des fonctionnaires de l'État».
Selon le procureur, le plus grand nombre de cas s'est produit dans la zone métropolitaine de Caracas, et quatre des décès ont été classés comme des crimes de haine.
Sources : Prensa Latina et TeleSur