Dans des déclarations à la presse, le procureur général, Tarek William Saab, a déclaré que cette décision est attribuable «uniquement et exclusivement à l'État vénézuélien, aux organes compétents, au système judiciaire, au ministère public qui dirige l'action pénale et au pouvoir judiciaire».
Il a précisé que durant les périodes prévues par la loi, un «examen approfondi des cas liés aux actions violentes» survenues après les élections présidentielles du 28 juillet, qui ont fait 28 morts, 200 blessés et 500 destructions de biens publics et privés, a été effectué.
Le réexamen des mesures prises à l'encontre des personnes poursuivies pour ces actes se fonde sur des valeurs supérieures «telles que la vie, la justice et les droits de l'homme», conformément à la procédure régulière consacrée par l'article 49 de
Le procureur général a souligné qu'aucune organisation non gouvernementale n'a de statut moral, ni d'autorité légale ou de qualification d'aucune sorte pour venir dire qu'elle a quelque chose à voir avec cette action.
Source : Prensa Latina