Selon les médias internationaux, l'Argentine a rejoint les 81 nations qui figuraient initialement sur la liste officielle, aux côtés de l'Union européenne et de l'Union africaine.
Dans une lettre introductive, le gouvernement argentin a accepté l'inclusion, mais a formulé une série de commentaires, dont les propos du président Javier Milei en faveur du capitalisme de libre entreprise comme «seul système possible pour mettre fin à la pauvreté dans le monde».
Il s'est également inquiété de certaines «contradictions problématiques de cette nouvelle alliance, comme son invocation de l'Agenda 2030 de l'ONU - maintes fois critiqué par Milei - qui est un ensemble d'objectifs juridiquement non contraignants».
Source : RT