Dans un communiqué publié mercredi, le bloc européen «rejette la décision des autorités vénézuéliennes de réduire substantiellement le personnel diplomatique accrédité à Caracas» et ratifie son soutien à la déclaration faite le 10 janvier - jour où Nicolas Maduro a prêté serment en tant que président pour le mandat de six ans 2025-2031 - par la haute représentante de cette association, Kaja Kallas, qui a déclaré que le président n'avait pas de légitimité, raison pour laquelle un nouveau paquet de quinze sanctions a été imposé.
Le secrétaire général de l'Alliance bolivarienne pour les peuples de Notre Amérique (ALBA), Jorge Arreaza, a critiqué la demande de l'UE.
«L'Union européenne et son cynisme. Elle méprise le gouvernement constitutionnel vénézuélien, collabore à la campagne de déstabilisation mondiale contre le Venezuela, impose des sanctions illégales, mais vient se plaindre et dénoncer une série de mesures dignes, souveraines, flexibles et totalement valables en droit international. Les bourreaux habituels se présentent comme des victimes comme toujours», a écrit l'ancien ministre vénézuélien des Affaires étrangères sur son compte Telegram.
Source : RT