ONU, 28 novembre, (RHC-PL).-Le rapporteur de l'ONU pour les Droits humains des déplacés internes, Chaloka Beyani, a demandé au gouvernement hondurien de faire tout son possible pour que les personnes ne soient pas contraintes de quitter leurs foyers à cause de la violence.
Au terme d'une visite de 5 jours dans ce pays centraméricain, Chaloka Beyani, a émis un communiqué, dans lequel il relève avoir constaté l'impact sur la population du crime organisé.
L'expert a qualifié d'épidémie invisible la situation dans ce pays qui figure parmi ceux qui ont le niveau de violence le plus élevé de la planète.