Buenos Aires, (RHC).- Les Grand-mères de la Place de mai en Argentine ont dénoncé la fermeture de la direction des Droits Humains du Ministère de la Sécurité, un bureau clef pour l'identification des enfants volés durant la dictature. Elles ont réclamé du président Macri la réouverture immédiate de ce bureau.
Le groupe spécialisé d'Assistance Judiciaire qui réalisait des tests d'ADN en faisait partie.
Les grands-mères de la Place de Mai estiment que quelque 500 bébés nés dans des prisons clandestines, ont été volés et leur identité modifiée. Elles signalent que le travail de ce bureau a permis d'en récupérer 119.