Buenos Aires, 4 juillet, (RHC).- L'ex-présidente de l'Argentine, Cristina Fernández entame dès aujourd'hui une série de rencontres avec des partisans du Front pour la Victoire, au sujet de la campagne de discrédit orchestrée par la droite à son encontre.
Sur ce sujet, l'ex président de l'Agence Fédérale d'Intelligence, Oscar Parilli, a dénoncé la croisade de diffamation, de discrédit et de persécution politique contre la présidente, campagne qui s'étend a tous les membres de son cabinet.
Il a expliqué que l'objectif de cette campagne est de créer une image dénaturée de la gestion des dirigeants du Front pour la victoire et détourner ainsi l'attention de l'opinion nationale des rajustements économiques du gouvernement qu'il a qualifié de pervers, brutaux et inédits.
Il a cité en exemple la hausse de tarifs de plusieurs services, la fermeture d'emplois, la non assignation de fonds aux Universités, l'abrogation de la loi des Médias, la poursuite d'artistes et de journalistes et l'augmentation de la pauvreté et des inégalités.