Dans des déclarations à la presse à Quito, le président équatorien s'est référé à la présence dans son pays de médecins cubains qui travaillent dans des zones reculées comme la frontière et la forêt.
Rafael Correa a réaffirmé que malgré ce que disent certains syndicats au sujet de l'existence de spécialistes en Équateur, si ces derniers ne sont pas disposés à travailler là où l'on a le plus besoin d'eux, l'on fera venir des médecins de Cuba et d'autres pays du monde car l'on ne va pas compromettre la santé du peuple.
Se référant au second sommet de la CELAC, la Communauté des États Latino-américains et Caribéens qui se tiendra à La Havane les 29 et 29 janvier, le chef de l'État équatorien s'est prononcé pour transformer ce groupe en un espace solide pour la solution de conflits et de divergences régionales sans l'influence des États-Unis.