La Havane, 7 avril, (RHC).- Le président panaméen, Juan Carlos Varela, a donné un ultimatum de 30 jours aux migrants irréguliers cubains pour définir leur avenir.
Autrement, ils seront expulsés du territoire panaméen.
«Ma recommandation est qu'ils rentrent au pays d'où ils sont venus ou ils seront expulsés vers Cuba.» a-t-il relevé.
Le président panaméen a même décidé de fermer dans un délai de 30 jours, les refuges ouverts par l'organisation Caritas de l'église catholique à l'intention des migrants cubains pour ne pas encourager l'émigration illégale.