Le premier vice-ministre de l'enseignement supérieur de Cuba, José Ramón Saborido, a qualifié de très important l'échange d'expériences dans différents domaines de la vie universitaire et sur le travail avec une approche de plus en plus sociale de ce niveau d'enseignement.
Il a relevé qu'il est impossible de donner aux sociétés une vie plus pleine sans la participation active des centres d'enseignement supérieur.
José Ramón Saborido a ajouté que, par leur propre nature les universités promeuvent et développent l'innovation dans l'activité scientifique, technologique avec son apport à la dimension économique, sociale, politique et culturelle.
Dans son discours, le premier vice-ministre de l'enseignement supérieur de Cuba,a également relevé:
«Dans la lutte pour parvenir à un monde meilleur possible et nécessaire, l'on constate que dans les pays les moins développés, qui constituent la majorité des pays de la planète, est implicite la nécessité d'une société nouvelle promouvant une distribution et une redistribution des richesses pour contribuer à l'amélioration du niveau de vie de la population plus vulnérable en matière de ressources financières. L'appauvrissement culturel des nations est tout aussi inquiétant. Il se peut que celui-ci soit le défi le plus important à relever par les universités dans les conditions actuelles. Il est de plus en plus évident que les peuples réclament avec de plus en plus d'insistance une vie culturelle digne. Pour changer cet état des choses l'on dépend de l'accès aux connaissances précieuses, qui sont celles qui ont un impact et qui transforment les universités et les sociétés ».
José Ramón Saborido a encore relevé:
« Les universités ont une grande responsabilité sociale. Il est impossible de transformer les sociétés et de leur donner une vie plus pleine sans le rôle de protagoniste de l'Université. C'est pourquoi ce congrès qui prend fin aujourd'hui a confirmé la contribution de l'université à l'obtention de ce noble objectif qu'est un développement humain durable ».