Roberto Morales a ajouté que l'on parviendra à atteindre cet objectif grâce à l'amélioration de l'attention médicale et à la solution des problèmes administratifs et logistiques des institutions ainsi qu'à la durabilité et à l'efficacité du système.
Il a mis l'accent sur le fait que l'on travaille encore à la reprise des concepts qui ont présidé à la création du système du médecin de la famille et qu'à cette fin l'on dispose de 11 500 cabinets de consultation dans lesquels l'on a réussi à élever la permanence et la stabilité du médecin et de l'infirmière.
Il a également fait savoir que l'on a multiplié les groupes de travail de base et que l'on travaille à la projection communautaire des spécialités d'attention secondaire, sans remplacer le rôle du médecin de la famille qui a une formation lui permettant de résoudre 70% des problèmes de santé de la communauté.
Roberto Morales a rappelé que Cuba relève le défit du vieillissement de la population dont 18,3% a plus de 60 ans, de l'augmentation du nombre de cas de cancer qui fait de cette maladie la première cause de décès dans notre pays au-dessus des affections cardiovasculaires.