Cienfuegos, 1er sept (RHC) Le programme des commémorations du 65ème anniversaire du soulèvement populaire armé du 5 septembre 1957 contre la dictature de Fulgencio Batista et son cortège de mort, débutera aujourd'hui dans cette ville du centre de Cuba.
Les actions commenceront par une matinée spéciale dans le conseil populaire de Reina, devant les pierres tombales qui commémorent la commémoration patriotique. Ce sera le prélude à une visite de 11 pierres tombales allégoriques, dans des lieux où le soulèvement a eu lieu.
Le vendredi 2, dans la soirée, un quartier-débat historique aura lieu à Punta Cotica, au cours duquel plusieurs spécialistes parleront à la population de l'importance de cet événement, réalisé par le peuple, le Mouvement du 26 juillet et les combattants de la Marine.
Yusimí Yulls Quintana, fonctionnaire du département idéologique du comité provincial du parti, a informé que le programme des célébrations comprendra, le samedi 3, une remise des cartes d’adhérent de l'organisation aux nouveaux militants dans le parc Martí, l'un des sites du soulèvement de septembre.
Il a ajouté que ce jour-là également, dans l'après-midi, sera inauguré le salon provincial des arts plastiques 5 de Septiembre, un espace important dans l'itinéraire des arts visuels sur le territoire.
De même, le 4, une cérémonie aura lieu dans le parc 5 de Septiembre, afin de reconnaître les jeunes qui se sont distingués dans la lutte contre la pandémie de COVID-19 et dans les catastrophes de l'hôtel Saratoga et de la base de supertankers de Matanzas.
Le 5 septembre, elle débutera par un assaut symbolique des pionniers et des jeunes sur l'ancienne base de Cayo Loco, aujourd'hui musée naval.
Une heure plus tard, les actions se déplaceront vers l'ancien hôtel de ville, aujourd'hui siège du gouvernement provincial.
L'événement principal de ce 65e anniversaire aura lieu ce jour-là, à partir de 7h30, devant l'ancienne école San Lorenzo, aujourd'hui le lycée 5 de Septembre. À la fin, un pèlerinage populaire aura lieu au mausolée qui rend hommage aux morts, dans le cimetière Tomás Acea. (Source : journal Granma)