Au cours de la première journée des débats de haut niveau, le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a qualifié d'anachronisme de la Guerre Froide le siège imposé par Washington à notre pays. Il a rappelé que depuis 22 ans l'Assemblé Générale condamne une politique si nuisible.
Pour sa part, le président bolivien, Evo Morales a considéré que le blocus étasunien est le système de sanctions unilatérales le plus in juste, sévère et prolongé qui a été appliqué contre un pays. Il a dénoncé qu'il s'agit d'un acte de génocide auquel il faut mettre fin immédiatement.
Les chefs d'État de l'Afrique du Sud, du Sri Lanka et du Tchad ont également joint leurs voix à cette condamnation.